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Daphné Linardos

Daphné, friand·e d’histoires depuis toujours, a commencé par l’étudier avec sa majuscule en amphithéâtre avant d’axer sa recherche sur le théâtre de l'opprimé·e dès 2016. En plus de le pratiquer depuis ce moment-là, ael aime expérimenter et y mêler d’autres formes artistiques, incluant souvent de la photographie et sans éclipser la richesse d’autres médiums comme les arts plastiques ou l’écriture. C'est pour ael une sorte de recherche collective de nouvelles formes de narration du monde vécu quotidiennement et politiquement par celles et ceux qu’on entend moins. Ces dernières années, ael a privilégié les projets participatifs autour des questions de genres et de l’espace public : lier l’intime avec le collectif se fait donc acte politique et porteur de changement.

Entre Lille et Bruxelles, ael fait également partie du collectif pluridisciplinaire de L’inter(s)tisse et a créé une conférence gesticulée « Fallait (pas) nous crêper le chignon ! » sur les amitiés et rivalités féminines.

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Daphné Linardos
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